Agenda

Cette exposition met en lumière la bonneterie, un des secteurs majeurs de la production textile en Bas-Languedoc depuis la fin du XVII^e siècle, et plus particulièrement la fabrique de bas au métier.

En 1700, Nîmes fait partie des dix-huit villes autorisées par arrêté royal à utiliser le métier à faire des bas. Le développement rapide de cette activité dans la ville même et au cœur des Cévennes lui conférera une place prépondérante dans la production nationale aux XVIII^e et XIX^e siècles . Les bas en soie, en coton, s’exportent alors dans le monde entier. L’exposition traite de leur fabrication, de leur usage, de leur commercialisation et de leurs représentations.

Aleth Jourdan, conservatrice en chef du patrimoine, de par ses connaissances des fonds textiles du sud de la France au sein du musée du Vieux-Nîmes (2011 – 2021) et de son implication dans l’étude des textiles dans les collections publiques et privées de la région PACA, est commissaire de cette exposition.

Cette exposition met en lumière la bonneterie, un des secteurs majeurs de la production textile en Bas-Languedoc depuis la fin du XVIIe siècle, et plus particulièrement la fabrique de bas au métier.

En 1700, Nîmes fait partie des dix-huit villes autorisées par arrêté royal à utiliser le métier à faire des bas. Le développement rapide de cette activité dans la ville même et au cœur des Cévennes lui conférera une place prépondérante dans la production nationale aux XVIIIe et XIXe siècles . Les bas en soie, en coton, s’exportent alors dans le monde entier. L’exposition traite de leur fabrication, de leur usage, de leur commercialisation et de leurs représentations.

Aleth Jourdan, conservatrice en chef du patrimoine, de par ses connaissances des fonds textiles du sud de la France au sein du musée du Vieux-Nîmes (2011 – 2021) et de son implication dans l’étude des textiles dans les collections publiques et privées de la région PACA, est commissaire de cette exposition.

Exposition payante, ouverte du 26 avril au 18 août, tous les jours.
Moyenne saison (26 avril au 30 juin) 7 jours sur 7 de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h.
Haute saison (1er juillet au 18 août) 7 jours sur 7 de 10h à 18h.

Les médiateurs du musée vous guident à travers la collection permanente et retracent la société rurale et traditionnelle des Cévennes du XVII^e au XX^e siècle.

2€ par personne en plus du prix d’entrée au musée, réservation conseillée au 04 66 85 10 48 ou maisonrouge@alesagglo.fr

Dans la filature, au mois de mai, venez observer les vers à soie se développer et participer à l’opération « ramène ta feuille au musée » en apportant des feuilles fraîches de mûriers blancs pour nous aider à les nourrir.

Pour découvrir l’exposition « Au bonheur des BAS » de Maison Rouge, les médiateurs du musée vous font découvrir cette exposition qui met en lumière la bonneterie, un des secteurs majeurs de la production textile en Bas-Languedoc depuis la fin du XVIIe siècle, et plus particulièrement la fabrique de bas au métier.  Les bas en soie, en coton, s’exportent alors dans le monde entier. L’exposition traite de leur fabrication, de leur usage, de leur commercialisation et de leurs représentations.

2€ par personne, prix d’entrée gratuit 1^er dimanche du mois, réservation au 04 66 85 10 48 ou maisonrouge@alesagglo.fr

Si l’exposition vous a interpellé et que vous en souhaitez en savoir plus sur les bas et leur production en Cévennes et en Languedoc, ou si vous souhaitez la découvrir de façon privilégiée, presque seuls avec la commissaire de l’exposition…. Ces visites privées de la commissaire sont faites pour vous.

Lecture dans l’exposition temporaire :
Marie-Claire Mazeillé, auteure de « sous la soie » viendra à la rencontre des visiteurs pour leur lire des extraits de son livre. Un texte sensuel, amoureux et poétique qui trouve toute sa place dans l’exposition « Au bonheur des bas ».

Une classe une œuvre :
« Des artistes et des œuvres à l’école »
Comment un artiste contemporain permet aux élèves de se confronter à une démarche de création originale pour s’approprier une œuvre des collections d’un musée et construire une culture artistique.
Avec l’artiste Théo Révelen-bernard, les CM1 de la classe de J.Dubois de l’École élémentaire Marie Curie (Alès) ont exploré les bas de soie, leur forme et leur vocabulaire décoratif, en écho à l’exposition temporaire.

Conférence à 18h : « Le corps dans nos sociétés contemporaines » par David le Breton, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg.

Parler des bas, c’est parler du vêtement qu’il valorise et surtout du corps qu’il protège ou embellit.
Dans nos sociétés contemporaines le corps est devenu une sorte de terminal pour l’individu, un objet fluide, transformable, un work in process. Pour les uns il s’agit de le transformer, de s’en jouer, d’autres veulent s’en débarrasser, la plupart sans doute ne s’en soucient guère, ils le considèrent comme l’incarnation de leur expérience du monde et ne songent nullement à le congédier ou à l’«améliorer». Les limites du corps interrogent les limites du lien social et les limites de soi.
David Le Breton, sociologue, est membre senior de l’Institut Universitaire de France. Titulaire de la chaire «Anthropologie des mondes contemporains» de l’USIAS, il est notamment l’auteur de : L’existence dans la peau. Une anthropologie des cicatrices (Métailié, 2003) ; Sourire. Une anthropologie de l’énigmatique (Métailié, 2022) ; L’art du vélo (Petite Bibliothèque Payot, 2024) ; Anthropologie du corps et modernité (PUF-Quadrige, 2013).

En partenariat avec l’association des amis de Maison Rouge – Musée des vallées cévenoles

Les médiateurs du musée vous guident à travers la collection permanente et retracent la société rurale et traditionnelle des Cévennes du XVII^e au XX^e siècle.

2€ par personne en plus du prix d’entrée au musée, réservation conseillée au 04 66 85 10 48 ou maisonrouge@alesagglo.fr

Installation à l’entrée de la cour de «  des cupules sans scrupule » carreaux de céramique de Manu Lefebvre librement inspirés de l’exposition Énigmatiques roches gravées des Cévennes au Musée du Colombier.